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exposition itinérante

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bombardé

Le long chemin vers la guérison

Au début de la Première Guerre mondiale, les troubles de santé mentale et nerveux sont considérés comme résultant d’un esprit ou d’une personalité “faible”, plutôt que comme une réaction légitime à un événement traumatisant. L’évolution du conflit, sa mécanisation et sa brutalité ont mis en lumière une autre dimension de la compréhension et du traitement de ce que les soldats appelaient le “shell-shock” ou “l’obusite”. À l’issue du conflit, plus de 10 000 soldats canadiens seront diagnostiqués d’un “traumatisme de guerre”, qu’on reconnaît aujour’hui comme le syndrome de stress post-traumatique, et plusieurs autres souffriront sans jamais recevoir de diagnostic officiel.

[image] “Battle of Courcelette”, 1916
Huile sur toile, par Louis Alexander Weirter
Collection d’art militaire Beaverbrook
Musée canadien de la guerre
CWM 19710261-0788